Culture Orinox
23/03/20
Depuis ses débuts, Orinox fait appel à ses collaborateurs pour attirer de nouveaux talents. Alors que le recrutement est un enjeu des plus important pour 2020, ils sont plus que jamais sollicités pour dénicher les meilleurs profils.
Depuis ses débuts, Orinox fait appel à ses collaborateurs pour attirer de nouveaux talents. Alors que le recrutement est un enjeu des plus important pour 2020, ils sont plus que jamais sollicités pour dénicher les meilleurs profils. Découvrez les secrets de la cooptation, un mode de recrutement en pleine accélération depuis 2 ans, grâce aux témoignages de Marina GAUDIN, chargée de recrutement mais aussi de Emna ZITOUNA et Noussaiba ROBBANA, un duo de cooptant/coopté.
La cooptation consiste en la recommandation par un collaborateur d’une personne de son entourage (ancien collègue, camarade de promotion, etc.) en vue d’intégrer l’entreprise dont il fait partie pour un poste dont il juge qu’il possède les compétences nécessaires.
Si la cooptation a toujours existé chez Orinox, « elle s’est renforcée depuis 2 ans avec la formalisation d’un processus » indique Marina GAUDIN. Orinox se positionnant sur des postes à profils pénuriques, la cooptation permet de mobiliser les chargés de mission qui possèdent un réseau important et peuvent ainsi proposer des profils cohérents. La cooptation est donc plus efficace qu’une simple annonce postée comme nous l’explique Marina : « Nos salariés sont nos meilleurs ambassadeurs pour donner envie de nous rejoindre. Ce sont les mieux placés pour présenter leur/notre métier, l’intérêt des missions chez nos clients, nos valeurs et le bien-être au travail qui règne chez Orinox ». La liste des avantages à la cooptation est longue : fiabilité du profil coopté, intégration facilitée, connaissances des opportunités de missions et de l’intérêt de la formation. Enfin, d’un point de vue plus pragmatique, ce mode de recrutement permet également des économies en temps et en argent.
La cooptation engage réellement le collaborateur mais reflète aussi qu’il a compris les enjeux et besoins de son entreprise.
Emna, ingénieur applicatif chez Orinox depuis décembre 2018, n’a donc pas longtemps hésité : « Ma décision de coopter Noussaiba était surtout basée sur le fait que je connais ses compétences et son enthousiasme. On avait fait des projets de fin d’année ensemble, réalisé des comptes rendus, donc je l’ai fait par connaissance de ses aptitudes ». Au-delà de la prime de cooptation que perçoivent les cooptants lorsque la période d’essai du coopté est validée, Orinox souhaite valoriser cette prise d’initiative qui prouve qu’elle a toute confiance en ses collaborateurs.
Alors comment fonctionne la cooptation chez Orinox ?
« Les salariés cooptants adressent au service recrutement le CV accompagné d’un formulaire de cooptation où le cooptant nous explique les raisons pour lesquelles il recommande ce candidat. » explique Marina. Ensuite il est intégré dans le processus de recrutement comme nous raconte Noussaiba ROBBANA : « Marina m’a appelée et on a eu un échange par rapport à mes objectifs. Elle m’a également parlé de ce que faisait Orinox. Elle m’a envoyé par la suite un lien vers la plateforme des tests techniques qui se passent en ligne ». Noussaiba a ensuite passé trois entretiens : un technique sur le logiciel Aveva PDMS, un psycho-technique et un en anglais, pour lesquels elle a reçu un avis positif et qui a débouché sur une signature de contrat. Noussaiba occupe désormais le poste d’ingénieur applicatif CAO depuis février 2019.
La cooptation peut tout de même comporter quelques limites.
Pour Emna, le risque de la cooptation est que « les collaborateurs commencent à proposer des profils inadéquats pour avoir accès à la prime de cooptation ou alors pour parrainer un ami. Et dans chacun des deux cas la confiance entreprise-collaborateurs sera brisée ». De plus, d’après Marina, il est important de diversifier les sources de recrutement et de ne pas faire de la cooptation « un mode unique de recrutement qui pourrait manquer d’objectivité ».
La cooptation a été une expérience réussie pour le duo : « J’ai fait le bon choix de recommander Noussaiba, elle a assuré pendant toute la phase de recrutement et elle a prouvé qu’elle méritait sa place chez Orinox. » (Emna). « Je suis reconnaissante envers Emna de m’avoir fait part de cette belle expérience d’intégrer Orinox en premier temps, et de découvrir le vrai monde de la digitalisation industrielle » (Noussaiba).
Devant le bel accueil reçu de la part les collaborateurs et les 16 cooptés engagés en 2019, la cooptation promet donc encore de beaux recrutements au sein d’Orinox !
VIDÉO : Lucas Goubert et Nicolas Campadieu racontent leur expérience de la cooptation